Néo-Apostolique : Affaire choquante à Kinshasa, une veuve contre un Pasteur qui fait l’opprobre de sa congrégation religieuse

LE PASTEUR NGILA MABUNDA VIOLE LA LOI ET DIFFAME POUR S’APPROPRIER UNE SERVITUDE DE PASSAGE

Au-delà des titres de noblesse spirituelle et de l’image de rectitude que l’on attend d’un pasteur, une affaire des plus choquantes éclate à Kinshasa, dans la commune de Ngaliema, précisément sur l’avenue Nzolana, aux encablures du Pont Moleka, pointant du doigt Ngila Mabunda, un homme dont les agissements présumés détonnent radicalement avec sa vocation.
Décrit par ses victimes comme un potentat sachant mater les faibles, Ngila Mabunda est au centre d’accusations graves de spoliation foncière et de terreur psychologique et judiciaire, orchestrées contre une veuve sans défense sur l’avenue Nzolana.
Cette parcelle, acquise de manière opaque, est devenue le théâtre d’une croisade personnelle où le pasteur a usé de subterfuges, d’intimidation policière et même d’incarcération abusive pour s’arroger une servitude de passage, n’hésitant pas à détruire une partie de la propriété de sa victime.
L’apogée de cette saga sordide voit désormais Ngila Mabunda accuser publiquement la veuve d’entretenir des criminels, une manœuvre perçue comme une tentative désespérée de la faire taire définitivement.
L’opinion publique, interpellée par la gravité de ces allégations et l’abus d’une position d’autorité morale, exige aujourd’hui des preuves irréfutables, soulignant l’urgence de faire la lumière sur une affaire qui met à mal la justice et la protection des plus vulnérables au sein de la société congolaise.

QUAND LE POUVOIR S’EXERCE AU-DELÀ DE LA LOI

L’histoire de cette spoliation présumée est un sombre récit d’intimidation et d’abus, où la vulnérabilité d’une veuve sans défense est exploitée de manière systématique par Ngila Mabunda.
L’origine du conflit réside dans l’acquisition par Ngila Mabunda d’une parcelle en cul-de-sac sur l’avenue Nzolana, dont les circonstances exactes de l’achat demeurent mystérieuses.
Pour obtenir un accès à sa propriété, Ngila Mabunda n’aurait pas hésité à s’arroger un passage à travers la parcelle voisine, une propriété non clôturée appartenant à une veuve, et ce, sans qu’aucun acte d’acquisition n’ait jamais lié les deux parties concernant cette servitude.
Ce qui aurait pu être, au départ, un simple arrangement de voisinage, s’est rapidement transformé en une revendication de servitude abusive, totalement dénuée de fondement légal ou de consentement éclairé de la propriétaire légitime. Pour parvenir à ses fins, les accusations portées contre Ngila Mabunda sont alarmantes : il a usé de subterfuges, transformant la vie de la veuve et de ses enfants en un véritable calvaire.
Des visites intempestives et intimidantes d’éléments de la Police, orchestrées par le pasteur présumé, sont devenues monnaie courante, semant la peur et l’angoisse au sein de ce foyer déjà fragilisé.

L’escalade de ces méthodes a atteint un point culminant avec l’incarcération de la veuve et de l’une de ses filles pendant de longs mois à la Prison centrale de Makala. Cette détention orchestrée par Ngila Mabunda dans le cadre de cette dispute foncière, représente un abus flagrant du système judiciaire à des fins personnelles et illégales.
Mais l’horreur ne s’arrête pas là.
Profitant de l’emprisonnement de ses victimes, Ngila Mabunda a alors exécuté son sale coup avec une cruauté inouïe : la destruction méchante d’une partie de l’habitation de la veuve pour se créer librement et physiquement la servitude qu’il revendiquait.
Ce modus operandi, mêlant harcèlement judiciaire, intimidation et destruction de biens, dépeint un individu prêt à tout pour atteindre ses objectifs, foulant aux pieds les droits de propriété et la dignité humaine, et posant de graves questions sur la manière dont une personne se revendiquant d’une autorité spirituelle peut se comporter avec une telle impunité et une telle violence symbolique et matérielle.

LA DIFFAMATION COMME ULTIME STRATÉGIE, L’OPINION PUBLIQUE RÉCLAME VÉRITÉ ET JUSTICE FACE AUX ACCUSATIONS DE CRIMINALITÉ

L’affaire Ngila Mabunda, déjà consternante par son ampleur et la cruauté de ses méthodes, a franchi une nouvelle étape dans l’ignominie.
Dans une tentative désespérée de faire taire définitivement la veuve et de miner toute crédibilité de sa victime, Ngila Mabunda a eu recours à l’arme de la calomnie la plus grave : il déclare désormais haut et fort que la pauvre veuve entretient des criminels. Cette accusation, sans preuve apparente, est non seulement une diffamation potentiellement dévastatrice pour la réputation et la sécurité de la veuve et de sa famille, mais elle peut être interprétée comme une manœuvre pour détourner l’attention des agissements du pasteur lui-même.
En présentant sa victime comme une complice de la criminalité, Ngila Mabunda tente de légitimer ses propres actions abusives et de discréditer toute plainte ou résistance de la veuve. C’est une tactique classique de victimisation de la victime, visant à inverser les rôles et à obscurcir la vérité.

Cependant, l’opinion publique congolaise, témoin et alertée par de tels abus, ne semble pas dupée.
Face à la gravité des faits rapportés, à l’incarcération manifestement abusive et à la destruction de propriété, couplées à cette dernière accusation infondée, une exigence claire et unanime s’élève : L’opinion exige de Ngila Mabunda des preuves !Ce cri du cœur souligne l’indignation face à ce qui apparaît comme une flagrante injustice et un abus de pouvoir.
L’affaire Ngila Mabunda n’est pas seulement un litige foncier ; elle est devenue un symbole des défis que rencontrent les citoyens vulnérables face à des individus puissants qui s’affranchissent de la loi.
Elle met en lumière l’importance de la protection des droits de propriété, d’un accès équitable à la justice, et de la nécessité de la transparence et de la redevabilité, surtout pour ceux qui se prévalent d’une autorité morale ou spirituelle. La pression de l’opinion publique est désormais un facteur déterminant, appelant à une enquête rigoureuse et à ce que justice soit rendue pour la veuve et sa famille, afin de restaurer la confiance dans l’État de droit en RDC.

David MUTEBA KADIMA

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