- Des millions retrouvés et l’avenir bâti, il assure la prospérité future de la RDC.
Dans le panorama politique et économique complexe de la République démocratique du Congo, où la gestion des ressources publiques est plus que jamais scrutée à la loupe, la figure de Jean-Lucien Bussa, l’actuel ministre du Portefeuille, émerge comme celle d’un architecte discret mais redoutablement efficace des réformes.
Son passage à la tête de ce ministère stratégique, qui chapeaute les entreprises publiques et les participations de l’État dans les sociétés mixtes, est marqué par une série d’initiatives audacieuses et pragmatiques, dont l’objectif ultime est de transformer radicalement le paysage des finances publiques.
Sous l’impulsion et la vision directrice du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, et avec la coordination méthodique et le soutien résolu de la Première ministre Judith Suminwa Tuluka, Bussa n’a pas seulement corrigé des dysfonctionnements hérités du passé ; il a posé les fondations d’une nouvelle ère de gouvernance économique. Ses actions témoignent d’une compréhension profonde des mécanismes financiers et d’une détermination sans faille à maximiser la contribution du patrimoine de l’État au bien-être collectif. Loin des projecteurs excessifs, son travail est une démonstration concrète de l’efficacité d’une approche axée sur les résultats, visant à optimiser la rentabilité des actifs de l’État, à rationaliser les dépenses superflues, et surtout, à instaurer une culture de transparence inébranlable et de responsabilité à tous les niveaux de gestion des entreprises publiques et des sociétés d’économie mixte. C’est une véritable révolution silencieuse qui se joue au cœur des institutions économiques congolaises, promettant un avenir où la richesse nationale bénéficie réellement à tous les citoyens.
UNE NOUVELLE ÈRE DE REDISTRIBUTION DES RICHESSES ET DE REPRÉSENTATION ÉQUILIBRÉE DE L’ÉTAT
Au premier plan des réalisations significatives de Jean-Lucien Bussa, se trouve une refonte radicale de la contribution des richesses nationales au Trésor public.
Il a initié et mis en œuvre une réforme pionnière qui assure désormais au Trésor public une part substantielle des profits générés par les coentreprises, notamment celles opérant dans le secteur minier. Concrètement, cette mesure permet de récupérer 25% des dividendes de ces joint-ventures, une injection directe et significative de capitaux qui n’existait pas à ce niveau auparavant.
Cette captation accrue des revenus ne se contente pas de renflouer les caisses de l’État ; elle envoie un signal fort aux investisseurs nationaux et étrangers, démontrant une gestion plus rigoureuse et une volonté politique de garantir que la RDC bénéficie pleinement de ses richesses naturelles, renforçant ainsi la confiance dans la prévisibilité et la robustesse de l’économie congolaise.
Parallèlement à cette révolution fiscale, Jean-Lucien Bussa s’est attelé à rééquilibrer la balance du pouvoir au sein des partenariats public-privé. Conscients que l’État, même actionnaire minoritaire, doit avoir une voix qui porte, il a mis en place une politique audacieuse : la nomination de directeurs généraux adjoints (DGA) issus de l’État, même dans les sociétés d’économie mixte où la part de l’État est inférieure à 30%. Cette initiative garantit une représentativité accrue et une capacité d’influence réelle pour défendre les intérêts nationaux au sein des instances décisionnelles. Plus encore, sous sa direction, une attention méticuleuse a été portée à la consolidation de la position de l’État dans toutes les entreprises où il détient des participations.
Cela s’est traduit par une vigilance accrue pour que la représentation de l’État soit toujours proportionnelle à ses apports en nature, assurant ainsi que les intérêts souverains ne soient jamais dilués et que la valeur ajoutée générée par ces entreprises profite équitablement à la nation. Ces mesures cumulées dessinent une nouvelle architecture de la gouvernance économique, où l’État congolais, sous l’impulsion de Jean-Lucien Bussa, réaffirme son rôle de partenaire stratégique et de bénéficiaire légitime de ses propres ressources.
OPTIMISATION INTERNE, RESPONSABILISATION ET VISION STRATÉGIQUE POUR UN AVENIR PROSPÈRE
La transformation initiée par Jean-Lucien Bussa ne se limite pas aux partenariats externes ; elle s’étend à une optimisation profonde de la gestion interne et de la performance des entités publiques.
Sa politique actionnariale, résolument dynamique, a permis d’orienter un soutien financier accru vers les sociétés d’économie mixte considérées comme vitales pour le développement économique du pays.
Cette approche proactive ne vise pas seulement à soutenir leur croissance, mais aussi à consolider leur rentabilité, un facteur essentiel pour générer des revenus stables et significatifs pour le budget de l’État.
En outre, le ministre Bussa a redonné au ministère du Portefeuille toute sa place en tant que service d’assiette, réaffirmant ses prérogatives de collecte et de suivi des recettes, renforçant ainsi la chaîne de gestion des finances publiques. Parallèlement, il a substantiellement amélioré les primes et les conditions de travail du personnel du ministère, une mesure qui témoigne de sa volonté d’optimiser le fonctionnement interne en valorisant les ressources humaines et en renforçant la motivation et l’efficacité des agents publics dans l’accomplissement de leurs missions.
Au-delà des chiffres, Jean-Lucien Bussa a mis un accent particulier sur le renforcement de la gouvernance et l’instauration d’une rigueur implacable dans la gestion de toutes les entreprises publiques.
Ces mesures sont cruciales pour garantir une transparence accrue des opérations et une responsabilité claire à tous les niveaux, des éléments fondamentaux pour rebâtir la confiance entre le gouvernement et les citoyens congolais.
L’établissement d’une politique commerciale favorisant les échanges et les synergies entre les différentes entités économiques du Portefeuille est une autre innovation stratégique.
Cette approche stimule le développement industriel et commercial intégré du pays, créant des chaînes de valeur internes plus robustes.
Enfin, une mesure emblématique de sa gestion est l’introduction d’une politique salariale novatrice pour les mandataires publics, incluant la suppression d’indemnités jugées superflues.
Cette initiative reflète un souci d’équité, de rationalisation des dépenses et de démonstration d’une gestion éthique au service de l’intérêt général.
Les résultats tangibles obtenus sous la direction du ministre Jean-Lucien Bussa illustrent son efficacité remarquable et son engagement profond.
Ses réformes ne sont pas de simples ajustements ; elles incarnent une vision claire et courageuse pour le développement économique de la RDC, le positionnant comme un acteur clé dans la transformation positive du paysage économique congolais, et ouvrant ainsi la voie à un avenir plus juste, plus transparent et plus prospère pour l’ensemble de la nation.
David MUTEBA KADIMA
