Portefeuille: l’audace politique du Ministre Jean-Lucien Bussa débloque des millions et redéfinit la gouvernance publique

Le Secrétariat Général du Portefeuille de la République démocratique du Congo est actuellement le théâtre d’une effervescence et d’une joie palpables, le personnel exprimant une gratitude débordante et unanime envers le ministre du Portefeuille, Jean-Lucien Bussa Tongba.
Cette liesse collective fait suite à une avancée politique d’une importance capitale et d’une portée historique : l’obtention de l’autorisation tant attendue de procéder à la liquidation de 50% des royalties dues au titre de la prime de cession, des redevances supplémentaires ou des loyers revenant directement au Trésor public. Ces sommes considérables, dont le recouvrement était jusque-là entravé malgré leur destination claire au bénéfice des entreprises du Portefeuille de l’État opérant dans le secteur minier, étaient restées inaccessibles pendant une période prolongée, s’étirant sur des années, voire des décennies, et ce, malgré les tentatives infructueuses de plusieurs ministres précédents.
La capacité de Jean-Lucien Bussa à concrétiser cette avancée majeure est perçue non seulement comme un succès administratif, mais aussi comme un signe puissant de sa détermination à réformer en profondeur la gestion des actifs de l’État et à garantir une meilleure redistribution des richesses nationales.

UNE REDEVANCE STRATÉGIQUE ENFIN LIBÉRÉE, UN IMPACT CONSÉQUENT SUR LES FINANCES PUBLIQUES

La redevance en question a toujours constitué un enjeu stratégique absolument crucial pour l’équilibre et la vitalité des finances publiques de la RDC.
Sa collecte effective et sa mise à disposition des caisses de l’État auront un impact significatif, permettant non seulement de renflouer des fonds essentiels mais aussi de débloquer des ressources financières indispensables pour soutenir divers projets de développement à travers le pays, qu’il s’agisse d’infrastructures, de santé, d’éducation ou d’autres secteurs vitaux.
Selon Clément Luabeya Mpoyi, représentant de la délégation syndicale des agents du Portefeuille, la satisfaction est immense et le sentiment d’accomplissement est partagé par l’ensemble du personnel.
Il a tenu à souligner avec insistance que de nombreux ministres s’étaient succédé à la tête de ce Portefeuille sans jamais parvenir à faire progresser ce dossier épineux, demeuré figé dans les méandres administratifs et politiques pendant des années.
L’arrivée de Jean-Lucien Bussa a visiblement marqué un tournant décisif, apportant une nouvelle dynamique et une efficacité qui avaient cruellement fait défaut par le passé.
Ce déblocage est bien plus qu’une simple transaction financière ; il est le symbole d’une volonté politique forte de récupérer ce qui revient de droit à l’État et, par extension, au peuple congolais.

LES PILIERS D’UN SUCCÈS RETENTISSANT

Le succès retentissant de cette démarche est unanimement attribué à l’engagement politique inébranlable et à la maîtrise des enjeux économiques dont a fait preuve Bussa Tongba.
Sa capacité à naviguer avec habileté et perspicacité au sein des rouages complexes de la commission mixte paritaire d’Ecofin du Parlement a été l’élément décisif qui a permis de débloquer ce dossier, réputé pour sa complexité et son inertie.
Sa détermination à plaider la cause de l’administration du Portefeuille et à convaincre les parlementaires de la justesse et de l’urgence de cette liquidation témoigne d’une vision et d’une force de persuasion remarquables. Pour sa part, le ministre Bussa a humblement tenu à saluer le travail collectif et institutionnel qui a été mené en coulisses, soulignant que cette issue favorable est le fruit d’une synergie entre les différentes parties prenantes. Il a également réaffirmé sa détermination à toujours accompagner ses agents, conscient que leur motivation et leur dévouement sont essentiels à la bonne marche de l’administration.
Cette décision, désormais perçue comme une étape charnière dans la réforme du secteur public congolais, envoie un signal fort d’une gouvernance résolument orientée vers les résultats, promettant de restaurer la confiance des acteurs économiques nationaux et internationaux, ainsi que celle des citoyens congolais qui aspirent à une gestion plus transparente et plus efficace de leurs ressources nationales.
C’est un pas significatif vers une meilleure reddition des comptes et une exploitation plus juste des richesses du pays.

Ruth MWATCHA

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